On démarre un projet, que ce soit à 20 ans, à 30 ou à 50 ans, on démarre un projet. On est un jeune entrepreneur.
Interrogés par Mme Dorothy Alexandre, présidente-directrice générale d’Inspiration Communication, les panélistes ont d’abord fait part de l’expérience professionnelle qu’ils ont vécue grâce au soutien de LOJIQ. Mme Labrecque a notamment mentionné que LOJIQ lui a permis de participer à la COP22 au Maroc, où elle développe maintenant deux nouveaux projets, tandis que M. Primeau a déclaré que, sans LOJIQ, le groupe Rock et Belles Oreilles n’aurait probablement jamais décollé. Il a ensuite expliqué que l’entrepreneuriat culturel à Montréal était en expansion et qu’il contribue au rayonnement international de la métropole. Abondant dans le même sens, M. Derraji a insisté sur l’apport des communautés culturelles à l’économie de Montréal, où l’entrepreneuriat issu de l’immigration constitue une véritable source d’innovation, mais également une opportunité pour les jeunes entrepreneurs d’ici de créer des ponts avec d’autres pays. Interrogée sur l’importance des liens intergénérationnels en affaires, Mme Labrecque croit que c’est d’abord l’expertise et le mentorat entrepreneurial qui comptent. Le panel s’est conclu avec des recommandations pour les entrepreneurs, notamment avec le conseil de M. Lacasse de posséder une vision pour son entreprise et de se diversifier dans son secteur, sans toutefois s’éparpiller.
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